C’est ce qu’estime un analyste de chez Barclays cité par ZeroHedge.
Je crois que c’est bien là que ça risque de coincer., et c’est pour cela qu’un pays comme la Grèce a autant d’importance aujourd’hui (même si on commence à parler davantage de l’Italie).
Un défaut partiel de la Grèce est indispensable à la résolution de la crise (sinon la Grèce ne pourra jamais redresser ses finances), mais ce défaut partiel qui devrait logiquement activer le CDS, risque aussi d’avoir des conséquences sur le bilan de la BCE.
Pour l’instant c’est l’impasse.
Jusqu’à présent je pensais que, conformément à leurs habitudes les autorités tordraient les règles en argumentant que cette restructuration est « volontaire », mais lorsqu’on atteint une décote de 50 à 60% cela devient difficile à défendre.