L'intervention conjointe des banques centrales hier, n'est que le "énième" épisode d'une saga consistant à augmenter la quantité de dette en circulation pour stimuler l'économie.
Il ne faut pas oublier en effet que l'injection de liquidités correspond également à l'accroissement des dettes.
Or le graphique ci-dessous montre que l'effet de cet accroissement des dettes est de moins en moins efficace sur la croissance du PIB.
On devrait d'ailleurs atteindre l'effet "zéro" en 2015 d'après cette analyse.